Les femmes sont vulnérables au changement climatique en raison de leur statut social

Dans le cadre des Rencontres Internationales « Féministes ou non ? » organisées par Genre en Action en décembre 2013, la chercheure tunisienne Leila Rajhi est intervenue pour parler des enjeux du genre et du changement climatique.

Leila Rajhi est enseignante universitaire agro-économiste et consultante/formatrice spécialiste en genre et développement. Son intervention a eu pour objet de présenter une analyse de la relation entre le genre et changement climatique.

« Pour être efficaces, les réponses au changement climatique doivent nécessairement intégrer la dimension genre. Ainsi, la femme tout comme l’homme doit avoir une voix égale dans la prise des décisions sur les changements climatiques. Le diagnostic genre à travers l’outil de « la toile d’institutionnalisation du genre » peut nous renseigner sur le degré d’intégration de la dimension genre dans une organisation, un pays, une politique, etc. »

Leila Rajhi, agro-économiste tunisienne, aux Rencontres Internationales « Féministes ou non ? » (Tanger, 2013) (c) Genre en Action