Au Québec, si plusieurs études ont abordés les questions du rapport des femmes, en tant que groupe social, au travail, à la santé, au développement celles portant sur les mouvements des femmes ont été plus rares. Plus encore si l’on prend comme critère l’admission d’une « politique féministe ».Dans cet article, il est question d’analyser les outils conceptuels qui peuvent servir à l’analyse du mouvement des femmes plus précisément à la sociologie des mouvements sociaux.
Les spécificités des mouvements sociaux, les luttes des classes, cet article tente de cerne à la fois la réalité du mouvement social et de l’appliquer à la réalité des mouvements féministes, à partir d’une réflexion sur les problématiques développée par Manuel Castells et surtout Alain de Touraine.
Cet article soulève la question de l’autonomie comme composante essentielle du mouvement social, tant l’autonomie organisationnelle que politique.
Lisez cet écrit par Diane Lamoureux, professeure au département sciences politiques de l’Université de Laval, Québec, Canada, en cliquant ici.
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